Face à la vague d’objets connectés et d’applications mobiles dans la vie quotidienne comme sur le marché de la santé et du bien-être, il apparaît plus que jamais utile de rappeler que tous les dispositifs électroniques ne peuvent pas prétendre à l’appellation de dispositifs médicaux. Ces derniers sont en effet encadrés par un règlement européen qui entrera en application dans moins de 200 jours.

Ce sujet, Doshas Consulting s’y intéresse depuis plusieurs années, croisant les regards d’experts. En octobre 2017, celui de William Rolland, du Syndicat National de l'Industrie des Technologies Médicales (SNITEM) mettait déjà en perspective la nécessité de respecter certaines exigences de sécurité et garanties de fiabilité, sans pour autant bloquer un marché porteur d’emplois et d’innovations.

Confrontés à une offre pléthorique, prescripteurs et patients ont donc besoin d’être rassurés et d’éprouver la même confiance qu’avec un professionnel de santé. Un sentiment qui passe notamment par la certification des dispositifs et l’évaluation des applications santé et bien-être, comme nous avons pu concrètement l’expérimenter sur le terrain, en accompagnant les médecins libéraux rhône-alpins, dans une étude sur les usages des objets connectés de santé.

Que ce soit dans la prévention, l’aide au diagnostic, les traitements ou le maintien à domicile, la santé mobile et la télémédecine, et plus largement la e-santé, sont au cœur des nouveaux parcours de soins. Le monde de l’assurance et des mutuelles a lui aussi bien compris les enjeux de la confiance. Raison pour laquelle Didier Ambroise a eu l’honneur d’être invité à participer au dernier TDAY Insurance, pour un atelier de design thinking sur le thème : « Santé & IOT, quels usages et quels business pour les assureurs ? ».

 

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